post mortem

Publié le par geg

  • Et voici que, ironie du sort..
    Lucian Freud se fait voler le "prime time" par un obscur Norvégien en quête absolue de célébrité.
     J'ose dire que nous serons confrontés à ce type d'événement extrême de plus en plus souvent.
     Pourquoi ? peut-être parce que la "poésie"de l'aventure humaine n'est plus suffisante pour combler certaines frustrations.


    Lucian Freud mettait dans son exercice de la chair mise en avant toute la détresse de l'être humain, détresse et fascination.
    Je pense à Monet paignant les reflets de la lividité post mortem sur le visage d'une de ses proches
     Bacon et tant d'autres ont exploré ce qui me fascine moi aussi.
     Je veux dire que l'acte de peindre et dans ce cas là aussi le plaisir de faire.
    portrait-de-dieu.jpgbon-dos-de-face.jpgEtude pour un corps livide 100x80 gegout©adagp
    portrait en pied de dieu 145x110 gegout 2009©adagp
  •  La chair.. sublimée par notre regard sans passer par la mitraille, le carnage qui relève d'une frustration
     que les artistes peuvent contourner. Même si les pulsions sont parfois aussi fortes,
    le fameux passage à l'acte se fera de façon détournée, pourtant la violence est là rampante..


     

Publié dans sans-pitre

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article